Vietnam Sud: de Can Tho à Hoi An (11 jours)

Hoi An

Nous nous levons tôt pour prendre un minibus jusqu’à la frontière entre le Cambodge et le Vietnam, avant de rejoindre Chau Doc en bateau sur le Mékong. De là, nous prendrons un second bus jusqu’à notre destination du jour, Can Tho, dans le delta du Mékong au sud Vietnam. Le trajet doit durer 7 heures, plus ou moins.

Can Tho

Le minibus récupère 2 autres couples à leur hôtel respectif, puis nous dépose tous sur une grande barge-restaurant d’où partent les bateaux sur le Mékong. Les deux couples embarquent et on nous demande d’attendre un peu pour notre bus. Puis, un gars propose à David de faire le trajet en bateau, beaucoup plus sympa, moyennant 5 $ de plus par personne. David refuse, sauf si c’est au même prix. 20 minutes plus tard, le gars revient et dit à David : ok, vous pouvez monter dans le bateau, sans supplément… Presque bon prince! Nous embarquons dans un petit bateau lent et bruyant, pour arriver à Chau Doc à 16h! Quand le même trajet en bus ne devait durer que 4 heures. Mais il faut attendre encore 1 heure pour prendre le bus pour Can Tho. Encore 4 heures de route avec la climatisation à fond, comme la musique locale d’ailleurs, puis la diffusion d’un spectacle « comique » qui durera jusqu’à l’arrivée. Sous les applaudissements, le « sound system » du bus est au bord de la rupture, et nos nerfs n’en sont pas loin non plus!  Bilan des courses: 14 heures porte à porte pour arriver à Can Tho… Juste le temps de déposer nos sacs à l’hôtel, et nous ressortons pour essayer de trouver un restaurant qui sert encore. Le seul qui nous accepte alors qu’il commençait à fermer est une « pizzeria » tout ce qu’il y a de plus vietnamien, qui a ouvert ses portes… aujourd’hui! Et oui, c’est la journée de la guigne!! Heureusement que le sourire et la gentillesse du serveur nous font oublier le goût de la pizza. On est loin du gastro mais pas loin de la gastro…

Ballade sur le Mékong

Ce matin, pas de stress. Nous allons nous promener sur les bords du Mékong, et ne faudra pas longtemps pour qu’une femme nous propose un petit tour d’une heure en barque à moteur sur le Mékong et ses canaux. On accepte puisque de toute façon il est trop tard pour le marché flottant que nous reportons à demain. Petite ballade sympa, même si le temps est très couvert. Les plus petits bateaux circulent entre les plus gros, et ici l’activité sur le Mékong ne s’arrête jamais.

En famille avec Sa

Depuis que nous le suivons, au nord du Laos, il est devenu de plus en plus actif au fur que à mesure que nous descendions vers le Sud. Sur les  canaux, des petites maisons sur pilotis et une barque devant chacune d’elles, pour seul moyen de locomotion. Dans le fleuve, on fait la vaisselle, on lave son linge… Les enfants nous disent « Hello » et Sà, notre batelière, nous apprend quelques mots de vietnamien, et c’est pas facile du tout!!! Retour sur la terre ferme et rendez-vous avec Sà demain matin, à 5h30 pour le marché flottant de Cái Rang.

Sà

Nous allons déjeuner sur les bords du Mékong, avant de retourner à l’hôtel pour une après-midi à travailler sur le blog et le programme des prochains jours. Puis nous allons dîner sous la pluie. David teste le serpent, pas mal, et moi la fondue vietnamienne, un bouillon brûlant bien parfumé dans lequel on fait cuire de petits morceaux de viande et de poisson, avec des plein d’herbes fraîches, des fleurs de courgettes… Et ensuite on verse un peu de tout ce délicat méli-mélo sur les nouilles de riz. C’est un vrai régal.

Le réveil sonne à 5h30. Ça pique! David et moi nous préparons doucement pour ne pas réveiller les enfants, puis nous descendons pour retrouver Sà, mais il pleut. Je décide de ne pas faire la balade pour éviter d’attraper mal encore une fois. David lui ne renonce pas et va visiter le marché flottant sous la flotte. Puis après un petit déjeuner tous les 4 devant l’élection de Miss Monde, nous remballons doucement nos affaires avant d’aller prendre notre bus frigorifique avec de la bonne variété vietnamienne, pour Ho Chi Minh City (3h30).

Ho Chi Minh

Nous nous posons dans le quartier routard de Pham Ngū Lão. La ville est immense et le flot perpétuel des deux roues est hallucinant. Comme nous ne restons que 2 nuits, nous avons choisi ce quartier « facile » bien que très occidentalisé, façon Khaosan Road à Bangkok avec les scooters en plus et quelques bars filles. A la nuit tombée, nous décidons d’aller au 50ème étage de la Bitexo Financial Tower (emblème s’il en est de la nouvelle prospérité vietnamienne) pour une vue à 360º sur cette ville gigantesque. Les enfants sont ravis, c’était un peu le but d’ailleurs. En redescendant, une machine crache de la mousse pour simuler la neige sur le grand sapin qui trône au pied du building. Chacun y va de son selfie, et au vu de la population, on sent tout suite que nous sommes dans les beaux quartiers. Ensuite, nous nous baladons sur les Champs-Élysées de Saïgon, l’avenue Nguyen Huê, pétaradante de couleurs et bordée de boutiques et d’hôtels de luxe. Il y a un monde fou. Puis nous allons dîner et rentrons en taxi sous la pluie.

Ho Chi Minh

Réveil tranquille ce matin. Nous décidons de trouver un centre commercial ou quelque chose qui y ressemble pour trouver un petit cadeau aux enfants, histoire de marquer le coup. Nous allons vers Saigon Square (conseillé par l’hôtel) en traversant d’abord rapidement le marché Bên Thành, parce les enfants ne raffolent pas de ce genre de visite. Arrivés à Saïgon Square, nous nous retrouvons dans une espèce de marché couvert où on ne vend que des vêtements comment dire, « locaux » et nous rebroussons chemin aussitôt. Nous retournons sur les « Champs-Élysées », où nous allons dans un autre centre commercial très bling bling, très cher et très vide! Nous sommes très…déçus! Déjeuner et retour à l’hôtel parce qu’il faudrait peut-être travailler un peu. Mais avant, on s’échauffe les baskets, on s’agite les mirettes, parce qu’ici à Saïgon, traverser la rue est un sport extrême dans lequel David s’est illustré, non sans une certaine témérité… Mais pour la médaille, il manque encore un peu d’entraînement! Il faut juste savoir que les scooters ne s’arrêtent jamais, au mieux ils slaloment entre les piétons mais c’est plus souvent le contraire! Ouf, on y est arrivé… En fin de journée, on va boire un verre dans le quartier avant d’aller dîner dans un tout petit resto extra: le Bun Cha. Mae craque finalement sur une paire de baskets. Joyeux Noël ma douce.

Ce matin, les yeux des enfants ont du mal à s’ouvrir. Nous n’insistons pas trop et allons prendre le petit-déjeuner sans eux. Nous somme le 24 décembre, et l’hôtel nous offre un breakfast Deluxe dans un hôtel du même groupe, au bord d’une jolie piscine. Le buffet est généreux et le service adorable, la journée commence bien, c’est déjà Nöel! Dommage que les enfants ne soient pas venus. Puis, le temps de faire les sacs, nous rejoignons le bus qui nous emmène à Mui Ne, en bord de mer. Et là, surprise! C’est un bus couchette ( il est 11h du matin) avec une banquette inclinée pour chaque passager. Bouteille d’eau et lingette rafraîchissante, s’il vous plaît! Le voyage s’annonce  déjà merveilleux… Et c’est pas fini: il y a le wifi, oui Madame! Le rêve quoi, Noel continue. Du coup, nous avons profiter du trajet (4h) pour réserver nos prochains hôtels.

Bus couchette

Notre déjeuner de Noël a consisté en un sandwich vietnamien, plein de choses difficilement identifiables à l’exception du concombre et de la coriandre. Sur nous quatre, 50% s’en sont contentés, on vous laisse deviner qui?!  Bananes et pamplemousse ont complété ce déjeuner exotique, dans notre bus top confort. Nous sommes arrivés à Mui Ne, gentille station balnéaire où les vagues pourraient presque frapper à la porte de notre chambre.

Mui Ne

Le courant est fort et les voiles des kitesurf virevoltent au-dessus de la mer agitée. Avec David, nous nous mettons en quête d’un endroit sympa pour « réveillonner » ce soir. C’est Noël quand même, et ce soir nos proches nous manquent encore plus que d’habitude. Nous irons dans un restaurant au bord de l’eau, avec barbecue à volonté. En attendant, nous buvons une bière en amoureux, avec le soleil couchant en toile de fond (c’est romantique, hein?). Puis nous allons réveillonner tous les quatre,  autour d’un repas pas terrible arrosé d’un mauvais vin. Vers 22h30, nous rejoignons Morphée, en laissant derrière nous ce Noël qui n’en avait que le nom.

Mui Ne

A 6h30, la mer nous chante sa douce chanson, et nous ne résistons pas. Alors que les enfants dorment, David et moi enfilons nos maillots pour aller piquer une tête. Il faut d’abord descendre la digue bétonnée qui protège les hôtels (construits bien trop près de l’eau, c’est ahurissant)  des vagues puissantes. À marée basse, la digue pentue est couverte d’algues super glissantes mais le temps d’avertir David du danger, je l’entends pousser un petit cri , et je le vois dégringoler toute la pente sur le cul, juste au moment où un touriste passait justement par là. David fait bonne figure en rigolant devant le gars, et moi je suis pétée de rire de mon côté… J’ai mis 10 minutes à m’en remettre et j’en pleure en l’écrivant! C’est pas drôle, il s’est fait mal mon chéri, maintenant il est tout tordu du dos et moi de rire…!

La baignade matinale est vraiment agréable, on voit des hommes et des femmes qui s’affairent à ramasser les coquillages avec leur petite charrette à brasser le sable, pendant que la mer est basse et encore calme. Mui Ne est un spot de windsurf et surtout de kitesurf, et l’après-midi, la mer s’agite vraiment et les voiles colorées flottent à l’horizon. Après la petite baignade, nous marchons un peu sur la plage, puis nous retrouvons les enfants pour un petit déjeuner en famille. Nous passons le reste de la journée au calme, avec un peu de travail au programme. Le soir, nous sommes allés manger dans un resto du bord de mer, un parmi tant d’autres qui semblait plus fréquenté. Le concept est simple: sur le trottoir, on choisit dans les viviers, poissons, crevettes, langoustes, clams, calamars ou pour les plus aventuriers, crocodile, tortue, grenouille qui sont préparés au barbecue. Tous les restaurants de la rue principale font la même chose, et si le concept est bon le service de celui-ci est à pleurer…

Ce matin, je réveille Maé pour une petite baignade matinale. On se régale. David en profite pour aller à la petite agence de voyage d’en face pour réserver les billets de train, un peu plus compliqué que prévu car nous n’avions pas anticipé qu’il fallait 13 heures pour aller à Hoi An, notre prochaine destination. Le prix lui non plus (40€/personne) n’était pas vraiment prévu! Bref, David réserve donc. Ensuite nous louons deux mobs pour aller un peu explorer les alentours. Direction le village de Mui Ne, où nous trouvons difficilement un endroit pour déjeuner au bord de l’eau (oui, on a beaucoup de problèmes ;-)).

Mui Ne

Après quoi nous allons piquer une tête dans les vagues sur une plage complètement déserte, avant de reprendre nos bécanes, jusqu’aux dunes de Mui Ne. A peine nous nous arrêtons sur le bord de la route qu’une horde de gamines nous harcèlent pour nous louer un grand morceau de plastique semi-rigide qui fait office de luge pour dévaler les pentes ensablées. Nous nous garons, et la meute revient à l’assaut, malgré notre refus. Certaines nous suivent même dans la montée dans l’espoir de nous voir changer d’avis…

Les dunes de Mui Ne

C’est beau, ces jolies dunes orangées, qui font face au rivage. C’est pas le Pyla non plus, mais c’est assez surprenant de voir ça ici, au Vietnam. Les enfants s’éclatent dans le sable, roulé-boulé et course poursuite, j’adore!

Les Dunes de Mui Ne

Ensuite, nous filons vers la Fontaine de la Fée, un genre de petit canyon creusé dans les dunes, où coule un petit cours d’eau verdoyant que l’on remonte les pieds dans l’eau. Rien d’extraordinaire, mais la ballade est très agréable, et peu fréquentée. On discute, on blague, on se chamaille, on passe un bon moment.

Fairy stream

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Un peu plus tard, nous allons dîner dans le restaurant attenant au minigolf. Le cadre est le repas sont parfaits! Puis nous faisons une partie de minigolf, dans un très beau jardin tropical. Excellente dernière soirée à Mui Ne.

Le train Mui Ne - Hoi An

Nous nous retrouvons à 7h30 au petit déjeuner. Un gars de l’agence de voyage nous dépose les billets de train et nous voilà partis en taxi pour la gare. En regardant les billets, David s’étonne que les numéros de sièges (de couchettes en fait) ne soit pas consécutifs. Puis, il voit qu’il est inscrit hard sleeper (comprenez banquette dure) alors que nous avions réservé des soft (plus confortables, quoi!). Ça sent bizarre, là! Je regarde les billets à mon tour, j’essaye de voir ce qui se cache sous ce gros feutre noir qui renâcle la dissimulation. C’est en fait une petite étiquette coloriée au feutre. Et en soulevant, surprise, c’est comme les tickets de tacOtac, tu vois la somme que tu aurais pu gagner! Nous on voit la somme qu’on aurait dû payer, 2 fois moins cher que ce que nous avons donné à ce bandit. Tout devient plus clair: on a payé le double du prix, pour des banquettes pourries dans des compartiments séparés et en plus, le train arrive à 35 kilomètres de Hoi An. Comment vous dire que ce sentiment d’être pris pour un pigeon est insupportable, surtout que nous nous étions renseignés dans une autre agence avant, qui était au même prix. Comme quoi la pratique est courante, et c’est très très énervant. Nous essayons de changer de catégorie à la gare, mais sans succès.  Nous montons dans le train, David et Pablo dans une cabine de 6 couchettes, et Mae et moi dans celle d’à côté. Un couple de Vietnamiens mal léchés arrivent, dans la cabine, nous bousculent pour déposer tous leurs sacs, avec un regard noir. Maé et moi nous grimpons comme nous pouvons, à l’aide d’un pauvre cale-pied par étage, jusqu’à notre couche, au dernier niveau, le pire! Nous nous allongeons sur notre planche de bois généreusement garnie d’un « matelas » de 2cm d’épaisseur, puisque nous ne tenons pas assises. Il y a environ 30cm entre notre front et le plafond, d’où jaillit l’intarissable source d’air froid, qui vient se nicher là, juste dans le cou!

Le train Mui Ne - Hoi An

Les 13 heures de train vont passer très lentement, de petits sommes, en wagon « restaurant » où tous les employés se retrouvent pour manger en buvant du whisky et en fumant des clopes. On se demande presque si les passagers ont le droit d’être là… Nous passerons finalement une bonne moitié du trajet dans les wagons classiques, avec des sièges, après avoir arpenté la rame en long et en large, et avoir vu toutes les catégories du train – où les inégalités sociales ne sont que trop criantes – et s’être rendu compte que nos couchettes, en fait, c’est le grand luxe!

Le train Mui Ne-Hoi An

Pablo lui récupère  tout le sommeil qu’il a en retard, et manifestement, il est vraiment dans les choux. Juste avant d’arriver, en voulant prendre les billets de train en photo pour vous montrer la grossière dissimulation du bandit, je vois qu’une faute s’est glissé dans le nom de Pablo, ce qui nous donne: David Patpo! Ça se pause là! C’est sur qu’en pot, on a fait mieux! Allez, demain, tout ira mieux…

Pas de pot

Le réveil est un peu dur ce matin. Mais on se motive. Nous prenons des vélos à l’hôtel et partons à la conquête de Hoi An, classée au patrimoine mondial de l’Unesco. Nous garons nos biclous pour découvrir la ville à pied. Nous faisons un petit tour au marché,  et déambulons dans cette belle ville basse, où se mélangent le bois et la ville pierre.

Marché

Hoi An

De l’influence chinoise, il reste pas mal de maisons anciennes en bois sculpté que nous visitons pour certaines. L’architecture de Hoi An est très agréable et colorée, mais il n’est pas toujours facile de faire abstraction de la foule de touristes et de la ribambelle de boutiques qui s’y rapportent… C’est la rançon du succès, comme toujours…

Hoi An

Hoi An

Nous repérons un coiffeur local, où Pablo va se faire couper les douilles après le déjeuner. Nous faisons quelques boutiques de cuir pendant ce temps avant de retrouver un Pablo, tout nouveau, tout beau! Nous retournons à l’hôtel pour retrouver nous petits camarades de classe, Apple et Asus.

La coupe vietnamienne

Hoi AnRetour en ville, chaussures sur mesures et dîner au Bazar café dans un joli cadre. Au réveil, il pleut. Nous en profitions pour travailler, réserver les billets de bus et les  hôtels, puis nous déjeunons sur les quais sous la pluie.

Hoi An à vélo
Hoi An à vélo

Nous profitons d’une petite accalmie pour pédaler jusqu’à la plage. En chemin, nous faisons la rencontre de Michel et Yvette, un couple de français venus s’installer ici il y a 4 ans. Ils se proposent de nous faire visiter le coin en vélo, jusqu’à la plage.

Hoi An

Hoi An

Hoi An

Hoi An

Nous traversons des rizières, des élevages de crevettes, avant d’arriver à la plage qui n’existe plus vraiment de ce côté là, la mer a gagné la bataille contre la terre où quelques resorts ont du fermé boutique pour avoir construit bien trop près du rivage. Alors que la nuit commence à tomber, Michel et Yvette nous emmène sur le marché où ils ont leurs habitudes. Ils nous emmène manger un morceau d’ananas frais chez Mama Li, leur maraîchère préférée. Puis nous leur offrons un verre avant de nous séparer. Encore une de ces jolies rencontres que le hasard dépose incognito sur le chemin. Le soir, après dîner, nous rentrons à l’hôtel sous la pluie en riant, ce genre de petites scènes qui ressortent plus vivement sur le patchwork des souvenirs.

Hoi An

Ce matin, nous dormons un peu plus que d’habitude. Nous faisons un petit saut à Hoi An pour aller à la poste, faire un peu  de shopping et déjeuner près du pont Japonais. Puis les enfants restent à l’hôtel et nous repartons, toujours en vélo, vers le port de Cua Dai en vélo avec David.

Port de Cua Dai

Port de Cua Dai

Ce petit village de pêcheurs est tout mignon, et nous nous perdons dans les petites rues où un Vietnamien tient à nous montrer ses crabes, dans un dialogue de sourd. Sur le chemin du retour, nous faisons une petite pause au bord de la rivière. Demain, nous partons pour Hué et sa cité impériale.

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6 réflexions sur “Vietnam Sud: de Can Tho à Hoi An (11 jours)

  1. monique NEGRONI

    coucou les globe trotters ! je commençais à m’inquiéter de ne plus avoir de vos nouvelles et ce matin c’est le bonheur ! je dois vous dire que je suis vraiment très admirative de votre endurance, de votre capacité à vous adapter à des façons de vivre et des coutumes qui sont très éloignées des nôtres. Je vous sens toujours très motivés et curieux et c’est formidable.Merci pour ce nouveau reportage c’est un régal et on en veut encore et encore.!
    mamy et moi vous embrassons très très fort,et a bientôt.

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    1. Coucou La corse,
      Pas d’inquiétude, nous sommes en Chine et les connexions internet sont « particulières » voire inexistantes pour certains sites,facebook google etc.. et les blogs. Nous avons pris une connexion VPN ce qui nous permet d’avoir accès au blog.
      Sinon tout va bien mais il a fait quand même très froid à Pekin…
      On vous embrasse très fort

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  2. ketty peixotau

    que ce voyage est riche en anecdotes, en péripéties, je vois que les enfants ont bien grandis!
    continuez à vous amuser et régalez nous avec ce blog toujours très bien écrit et très détaillé
    gros bisous à vous 4

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